Chapitre 4
QUAND L'OEIL EST LA LAMPE DU CORPS

Une parole du Christ qui est aussi, parfois,
une vérité zoologique.


A
Les traditions au sujet du troisième oeil


Si nous reconnaissons que certains êtres, comme Bernadette Soubirous et bien d'autres, perçoivent les esprits d'un autre monde, même en admettant que ce don vienne du mélange entre les pensées et les phosphènes, que faut-il penser des traditions au sujet du troisième oeil qui serait l'organe d'un corps subtil, permettant cette perception ? Si l'on veut rattacher ces traditions à nos expériences, ce serait ce troisième oeil que le mixage phosphénique ouvrirait.

1. La concentration sur le troisième oeil :


La concentration entre les deux yeux, c'est-à-dire sur l'oeil de Shiva, est classiquement liée à l'exercice du vide mental. Il ne s'agit pas d'une sorte de nihilisme philosophique, mais au contraire d'un sentiment aigu de vide, que l'on retrouve dans le Yoga tibétain : réussir à provoquer cette sensation aiguë de vide en s'efforçant de chasser les pensées au fur et à mesure qu'elles apparaissent. Ce qui succède à chaque pensée est toujours supérieur à la précédente qui, en somme, traînait dans la conscience. Ainsi, apparaissent progressivement des éléments plus intéressants. Le sentiment aigu du vide, c'est-à-dire la sensation du Moi en suspension, avec un minimum de pensées et un minimum de perceptions sensorielles, est considéré par les tibétains comme étant un exercice spirituel. Le sentiment aigu du vide, entre les deux yeux et dans tout le corps, donne un accès sur le monde spirituel. Le vide est un aspect de Dieu.

2. Pourquoi la convergence oculaire est-elle considérée par les tibétains comme un exercice essentiel?


Nous remarquerons que le toucher est la mère des organes des sens. Romain Rolland a montré le premier que l'on pouvait entraîner n'importe qui à lire de gros titres de journaux avec un bandeau sur les yeux. Il y a quelques années, les soviétiques ont retrouvé cela, ignorant les travaux de Romain Rolland. Ils ont considéré avoir fait une découverte sensationnelle, alors que Romain Rolland avait découvert cela au moins soixante ans avant eux.

On sait qu'il existe dans la peau et surtout au niveau du front, au bout des doigts, ainsi que dans certaines autres régions du corps, des cellules du tact déjà légèrement différenciées vers la perception de la lumière, qu'on appelle osselles. De plus on sait bien maintenant, que l'infrarouge n'est pas réfléchi de la même façon par le papier blanc ou noir, ce qui, avec de l'entraînement, permet déjà une certaine interprétation à distance par la peau.
Le toucher a engendré tous les organes des sens : la vue, l'ouïe, etc., mais on peut se poser la question : quelle est la sensation élémentaire du toucher ?

Le toucher nous donne une foule de renseignements très différents les uns des autres et la sensation élémentaire est celle du vide.
Donc, un sentiment aigu du vide est la racine de toutes nos perceptions sensorielles. C'est la perception primordiale, celle qui est toujours constante à elle-même. On peut la considérer comme l'aspect de Dieu sur le plan sensoriel, la forme originelle des sensations. C'est pourquoi les tibétains s'entraînent à la sensation du vide, c'est-à-dire le sentiment du vide mental entre les deux yeux et dans tout le corps, pour avoir accès au monde spirituel. Pour obtenir cette perception aiguë du vide, ils ne se contentent pas d'un travail purement mental, mais ajoutent l'exercice physique de la convergence oculaire.

Il s'agit d'un exercice au cours duquel les axes des yeux se croisent. Le maximum de convergence oculaire est obtenu lorsque les yeux se croisent sur le plan horizontal et passent par le centre des globes oculaires. Cet exercice est très certainement le plus difficile à réaliser parmi les exercices de Yoga. La convergence oculaire est une des plus anciennes techniques initiatiques et est considérée comme la plus importante. Elle est celle qui permet d'accéder de façon définitive à la perception du monde spirituel : Yogananda, dans son Autobiographie d'un yogi, cite p.357, l'école de Ranchi où les garçonnets sont entraînés à la convergence oculaire. Midayat Kahn, au nom du Soufisme, indique aussi cet exercice comme la clé suprême de l'initiation, réservée uniquement à un petit nombre. Jean Marquès Rivière, dans Le Yoga Tantrique, décrit "La convergence sur la pointe du nez, associée avec les exercices respiratoires". Dans Yoga, méthode de réintégration, Alain Daniélou, ce français qui s'est fait Brahmane, donne comme principale posture, p. 44 : les yeux convergent vers le milieu des sourcils. "Cette posture ouvre la serrure de la libération ". Il donne la référence du texte original en sanscrit p. 241, N°65.

L'étude de ce troisième oeil sera certainement un des éléments majeurs de la science de l'avenir. Ici, nous nous contenterons d'une seule remarque qui apporte un argument important, tiré de la phylogenèse, en faveur de l'existence dans le corps subtil d'un organe auquel s'appliquerait à la lettre la phrase de l'Évangile : "L'oeil est la lampe du corps" (Sermon sur la montagne ; Matthieu, VI - 22).

Pour essayer de comprendre cette parole du Christ, nous opérerons en deux temps : tout d'abord, dans quels cas pourrait-on dire : "les yeux sont les lampes du corps". Ensuite, pourquoi un seul oeil ?

B
Les organes à double fonction de certains poissons,
en même temps yeux et photophores.


Nous rappelons que jusqu'au niveau évolutif des mammifères, beaucoup d'êtres vivants, animaux et végétaux, sont luminescents. Ainsi, près d'un tiers des poissons sont lumineux. Nous ajouterons trois remarques à ces faits bien connus :

1. Ressemblance entre la couleur des êtres luminescents et celle des post-phosphènes :


Il faut remarquer que la couleur émise par ces êtres luminescents est toujours dans les teintes de la première phase du post-phosphène (phosphène consécutif à l'éclairage, c'est-à-dire le jaune-vert). Rarement, certaines de ces luminescences tirent vers le bleu, mais aucune vers le rouge.

La première phase du phosphène, de couleur jaune-verte, est la seule franchement très brillante. Il y a déjà là une curieuse ressemblance qui n'est peut-être pas due au hasard mais à une origine chimique commune.

2. Le photophore des poissons, un oeil qui fonctionne à l'envers :


Beaucoup de poissons luminescents sont de faux poissons lumineux, car ils ne brillent que par les bactéries luminescentes qui vivent sur leurs écailles, voire même dans leur gosier, y attirant des proies.
Mais il y a plus curieux. Chez les poissons luminescents qui ne sont nullement, comme on le croit généralement, des poissons seulement abyssaux, l'appareil qui émet la lumière est appelé "photophore". On ne peut manquer d'être frappé par une grande ressemblance de structure interne entre cet organe et l'oeil, à tel point qu'on pourrait le considérer comme un oeil qui fonctionnerait "à l'envers", c'est-à-dire émettrait de la lumière au lieu de la recevoir.

En effet, à la périphérie, on trouve une couche réfléchissante, parce que blanche, très comparable à la sclérotique (le "blanc de l'oeil"), nécessaire pour empêcher la lumière extérieure de pénétrer latéralement dans l'oeil, ce qui brouillerait l'image formée par le cristallin sur la rétine. Puis, suit une couche de cellules pigmentées, noire, comparable à la choroïde de l'oeil, couche noire moyenne dont, de nouveau, la couleur empêche le brouillage des faisceaux lumineux par des réflexions à l'intérieur de l'oeil. Enfin, à l'intérieur, se trouve la couche de cellules qui émet la lumière, couche qui est en somme, à l'emplacement de la rétine dans l'oeil.
Il faut, bien évidemment, un milieu transparent devant pour que la lumière puisse sortir. C'est l'équivalent de l'humeur vitrée : devant l'orifice de sortie, il y a une petite lentille très comparable au cristallin.

Le photophore est donc absolument un oeil qui fonctionne à l'envers.

3. Quand les yeux sont les lampes du corps :


Il y a plus encore : il existe certains poissons dont le même organe sert tantôt d'oeil, tantôt de photophore, car une partie de la membrane qui couvre le fond de l'oeil émet de la lumière "à volonté" (si l'on peut parler de la volonté d'un poisson), et les régions voisines de cette même membrane sont une rétine normale. Donc, à ces poissons, on pourrait appliquer à la lettre la parole du Christ, à la condition de la mettre au pluriel : les yeux sont les lampes du corps.

C
L'épiphyse,
photophore du corps éthérique.


1. Des photophores des poissons, à l'oeil spirituel du corps éthérique :


Nous avons vu par ailleurs, à propos du nombril, qu'il est vraisemblable que les organes qui étaient actifs chez l'embryon, puis s'atrophient chez l'adulte avec la croissance, prennent par compensation une plus grande importance sur le plan spirituel, c'est-à-dire dans le corps éthérique, ou double subtil du corps humain.
On peut émettre l'hypothèse, un peu hardie je le reconnais, qu'il en est de même dans la phylogenèse, c'est-à-dire la succession des êtres vivants sur l'arbre de l'évolution. Donc, un organe existant chez des êtres relativement inférieurs, comme les poissons, pourrait reparaître dans l'espèce humaine mais sur son corps éthérique, en son double subtil. Ainsi serait pleinement justifiée cette phrase du sermon sur la montagne : "L'oeil est la lampe du corps".
Or, il serait arrivé au cours d'opérations sur le cerveau, de découvrir une certaine luminescence de l'épiphyse. Si cela était confirmé, il faudrait voir dans cette glande, dont la structure au microscope rappelle celle de l'oeil, à la fois une sorte d'oeil atrophié et un photophore interne. Cette glande à la fonction mystérieuse serait comparable aux organes de certains poissons, en même temps oeil et photophore. On peut donc se demander si cet organe, à la fois oeil et lampe miniaturisés dans le corps physique, n'est pas le reflet, dans le corps de chair, de cet oeil-lampe unique, dans le corps éthérique, auquel fait allusion l'Évangile. Ceci ne serait pas sans rapport avec le rôle que certains lui attribuent intuitivement dans l'illumination.

Il nous faut rappeler que l'Évangile est toujours très précis. À tel point qu'on peut le considérer comme un des premiers textes scientifiques. Ainsi, dans la description de la crise d'épilepsie, les quatre principaux signes y sont indiqués. On croirait le condensé d'une question de concours d'externat des Hôpitaux de Paris. Si donc le Christ avait parlé des deux yeux, ce serait clair dans le texte. Mais il s'agit là d'un seul oeil.

Le problème qui se pose ainsi, justifie que nous étudiions plus en détail les questions relatives à l'épiphyse.

2. Le faux troisième oeil en tératologie
(étude des monstres) :


Il arrive que des enfants naissent cyclopes, c'est-à-dire qu'ils naissent avec un seul oeil situé au milieu du front. Ceci survient d'ailleurs plus fréquemment chez les chiens. Ces cas ne font, cependant, pas partie des phénomènes entrant dans le cadre de l'étude du troisième oeil, car cette anomalie est associée au mauvais développement des hémisphères cérébraux. La malformation de ces enfants et de ces chiens cyclopes est donc due à un désordre dans la croissance de l'embryon.

3. L'oeil médian dans l'évolution biologique :


a) L'algue qui possède un oeil :

On croit souvent que le règne animal dérive du monde végétal et qu'il en serait une sorte de perfectionnement. Il n'en est rien. Les premiers êtres vivants ont été intermédiaires entre les deux règnes qui se sont différenciés ensuite.

De ces premiers êtres, certains subsistent encore. Ainsi, il existe une algue unicellulaire qui appartient bien au règne végétal, puisqu'elle possède de la chlorophylle verte qui lui permet de transformer l'énergie solaire comme font les plantes. Pourtant, elle possède deux caractéristiques animales : un long flagelle qui lui permet des déplacements très rapides par rapport à sa taille et, ce qui nous intéresse ici, un point rouge nommé oculiforme, parce que par lui, elle détecte la lumière et oriente sa marche vers elle. (Cours de botanique en Sorbonne, du professeur Plantefol). S'agirait-il de la première épiphyse ?

b) Chez les crustacés :

La larve du crabe possède un seul oeil au milieu du front. Cet oeil s'atrophie quand les deux yeux latéraux se développent. Voilà qui rappelle déjà beaucoup plus l'épiphyse.

On sait en effet que l'ontogenèse (développement de l'être) rappelle la phylogenèse (développement de l'espèce). Or, l'épiphyse est volumineuse et active chez l'embryon humain, alors que les yeux ne travaillent pas encore. Après la naissance, et jusqu'à l'âge de 17 ans environ, son activité diminue, sans pourtant jamais disparaître complètement.
Les trois yeux du crabe (dans la mesure où l'on peut assimiler l'épiphyse à un troisième oeil), suivent donc une évolution relative qui n'est pas sans ressemblance avec celle de l'homme.

c) Un faux "troisième oeil" ? :

Chez les animaux qui présentent plus de trois yeux, la filiation phylogénétique avec l'épiphyse ne paraît pas être la règle la plus fréquente. En effet, une loi très générale veut qu'un oeil se développe là où l'animal en a besoin, par sélection naturelle semble-t-il. Il existe par exemple, un poisson qui mesure plus d'un mètre cinquante, possédant deux yeux en position normale au niveau de la tête, et un troisième au bout de la queue. Le mode de vie de ce poisson est de s'enfoncer la tête la première dans les anfractuosités profondes des rochers et de se reposer longtemps dans cette position. Il lui fallait donc un oeil au bout de la queue pour surveiller les prédateurs qui seraient tentés de venir en manger un morceau.

Quant à désigner l'oeil qui représenterait l'épiphyse parmi les cent cinquante paires d'yeux qui forment les franges sur les bords de la coquille Saint-Jacques, cela poserait un très sérieux problème.

d) Chez les reptiles :

En Australie, il reste encore des lézards qui ont un troisième oeil au sommet du crâne. Ces lézards ressemblent fort à ceux de l'ère secondaire. Dans les îles, l'évolution se fait plus lentement car la concurrence est moins virulente. Cette différence de rythme des diverses mutations, explique que l'on trouve encore dans des lieux très retirés, certaines formes de vie très anciennes. Le troisième oeil des lézards de l'ère secondaire était une nécessité pour repérer les oiseaux rapaces. Cet oeil servait, là encore, à surveiller les prédateurs, cette fois aériens.

Les serpents carnivores nocturnes ont une petite tache de couleur différente de leur peau, qui n'est pas une simple décoration voulue de la nature. Cette tache est placée entre les deux yeux et marque l'emplacement d'un organe qui leur permet de détecter à distance les rayons infrarouges, de telle sorte que, de nuit, ils peuvent aisément localiser le mammifère qu'ils vont attaquer.

De nos jours, des moyens techniques sophistiqués permettent de repérer des infrarouges à environ quatre kilomètres de distance. Nous pouvons dire que le rayonnement spirituel, à l'image de l'infrarouge, doit baigner toute la planète. Ceci explique certainement une phrase des Agraphas (Les AGRAPHAS sont des paroles du Christ reconnues par l'Église comme étant authentiques bien qu'elles ne fassent pas partie des Évangiles). Une de ces Agraphas dit : "Fends le bois et tu m'y trouveras, soulève la pierre et j'y suis !". Cela devait être un pressentiment de cette connaissance des "radiations" qui émanent d'un être, rayonnent et baignent une immense étendue. Par conséquent, le rayonnement de chacun, notamment celui du Christ qui devait être bien plus puissant que tout autre, baigne l'ensemble de notre planète.

4. L'évolution embryologique du troisième oeil :


La grenouille possède sur le front un troisième oeil qui a vraiment une forme globulaire, mais nous ne le voyons pas car il est placé sous la peau. Cet oeil lui permet de détecter les ultraviolets car en raison de son double mode de vie, terrestre et aquatique, la grenouille a besoin, dans certains cas, de détecter l'ultraviolet. Cet oeil nous intéresse plus particulièrement car il nous ramène au problème de la glande pinéale dont le nom signifie "en forme de pomme de pin", c'est-à-dire toujours l'épiphyse. Cette glande se trouve à l'intersection d'une ligne qui passerait par les lobes temporaux et d'une horizontale qui passerait au milieu des sourcils.

C'est une glande très curieuse, car elle contient, d'une part, des cellules visuelles, d'autre part des cellules musculaires, ainsi que des grains calcaires. C'est d'ailleurs à cause du fait que les grains augmentent avec l'âge, que l'on croit que la glande se calcifie avec le temps. Mais à la vérité, bien que les grains calcaires augmentent, l'épiphyse continue à avoir une sécrétion. Elle est comme un microcosme de tout l'organisme, et elle fait penser à ce que font certains sorciers africains lorsqu'une calamité s'étend sur le pays : dans un petit sac, ils mettent un élément représentatif de tout ce qui se trouve dans la région : une fleur de chaque plante, un caillou de chaque rocher, un insecte de chaque variété et, par l'intermédiaire de ce microcosme, ils cherchent à agir magiquement sur l'ensemble du pays. De même, l'épiphyse est une sorte de petit sac microcosmique résumant les différents composants de ce qu'est notre organisme.

Les Hindous considèrent cette glande comme un oeil spirituel. Or, nous l'avons vu, une moitié de l'épiphyse constitue un oeil atrophié. Dans les textes de Yoga et les traditions spiritualistes, on localise ce troisième oeil entre les deux yeux et non sur l'épiphyse, ce qui s'explique par l'embryologie, car le troisième oeil des lézards est un bourgeon qui s'est développé entre les pariétaux.

Certains anatomistes considèrent que dans la structure du crâne de l'espèce humaine, il y a une petite encoche à la suture des pariétaux, encoche qui serait la trace de l'emplacement d'un troisième oeil situé au sommet du crâne, à une époque très reculée de l'évolution.
Quant au troisième oeil de la grenouille, il s'est formé ainsi : un bourgeon s'est développé sur l'épiphyse du têtard et est arrivé au sommet du crâne, puis est sorti entre les os pariétaux pour descendre ensuite vers l'avant de la tête. Sur le plan embryologique de la grenouille, il y a donc un lien entre l'épiphyse et le troisième oeil situé au milieu du front et sous la peau de l'animal. Nous avons déjà vu que lorsqu'un organe est actif chez l'embryon et qu'il s'atrophie avec l'âge, il tend à prendre une plus grande importance sur le plan spirituel.

Nous remarquerons qu'en Yoga, on admet que le nadi principal, c'est-àdire le tube principal par lequel se fait la circulation de l'air spirituel dans le corps invisible, part du milieu de la partie inférieure du tronc, monte jusqu'au sommet du crâne où il s'ouvre, et de là, se développe vers l'avant entre les deux yeux. Nous voyons qu'en Yoga, par une recherche intérieure, on a retrouvé le trajet évolutif de l'épiphyse, qui se prolonge jusqu'au sommet du crâne et revient s'ouvrir entre les deux yeux.